Ils n’ont pas gagné.

Le journal va continuer, ils n’ont pas gagné. Ça va être difficile. On va l’écrire avec nos larmes. Charb, Cabu, Wolinski, Bernard Maris, Honoré, Elsa, Tignous, Mustapha, le garde, chargé de notre surveillance ne sont pas morts pour rien. Il n’y a aucune haine à avoir contre les musulmans. Chacun, devant chez lui, doit faire vivre les valeurs de la République.

Patrick Pelloux von Charlie Hebdo